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Pour une bonne Gouvernance

Accords de Goma : les Mai Mai réclament un remaniement ministreriel 
 
Certaines clauses des accords de Goma signés en mars dernier entre le gouvernement et les groupes armés du Nord et du Sud-Kivu dans le programme Amani ne sont pas encore respectées, selon l’ex-groupe Mai-Mai Rwenzori. Le président du groupe qui l’a déclaré mardi à Kinshasa au cours d’une conférence de presse. 
 
Pour M. Faustin Ndekesiri, président du groupe Rwenzori mué en parti politique (Union des mouvements des démocrates nationalistes/Congolais), l’intégration de son mouvement dans les institutions du pays, le gouvernement notamment, n’est pas encore effective. Il faut donc que le président procède à un remaniement pour permettre l’intégration des signataires des accords de Goma. En dehors de la nécessité d’un remaniement gouvernemental, l’ex-groupe Mai-Mai Rwenzori estime que d’autres engagements pris par le gouvernement traînent à se réaliser, notamment l’accélération des dossiers introduits par les anciens mouvements pour se muer en partis politiques ainsi que la reconnaissance des grades de leurs membres au sein de l’armée et de la police. Faustin Ndekesiri reconnaît quand même des avancées significatives dans les engagements du gouvernement, comme l’application de la loi sur l’amnistie.  
 
Concernant le remaniement gouvernemental, rien n’est encore dit de manière précise si les membres des ex-groupes armés feraient partie du futur exécutif national. Le sujet est certes sur toutes les bouches, et selon des sources dignes de foi, les discussions pour un chambardement seraient en cours sur fond d’une divergence de vues au sein même de la classe politique. Si tous sont unanimes sur la nécessité de ce chambardement, l’on ne s’accord pas sur les objectifs. Pour les uns, il faut remanier pour permettre l’intégration des signataires des accords de Goma, ce que l’ex-groupe Mai-Mai et d’autres mouvements réclament, mais pour les autres, l’objectif serait de répondre d’abord aux préoccupations du peuple en termes de ses conditions sécuritaires, sociales et économiques. Il va appartenir donc au chef de l’Etat lui-même de départager les uns et les autres.  
Copyright Radio Okapi/L'EXPRESSION 
 
 
 
 
 
 
Photo Libre.be 
 
 
Le président du Gabon Omar Bongo est mort le lundi 8 juin dernier, d'une crise cardiaque à la clinique Quirón de Barcelone. 
A suivre... 
 
 
 
 
La MONUC renforce les capacités des professionnels des medias à Mbandaka  
 
 
Kinshasa, 15 mai 2009  
 
 
- Dans le cadre de son appui aux medias, la MONUC, à travers sa Section de l’Information publique et en collaboration avec l’Observatoire des Medias Congolais OMEC/Equateur, organise depuis hier et pour deux jours à Mbandaka un séminaire de renforcement des capacités des professionnels des médias. 
 
 
 
Différents exposés sont au programme de ce séminaire qui se veut pratique et concret, notamment : les limites de la liberté de la presse ; le traitement de l’information en période de conflit, les relations entre le pouvoir politique et les medias, les techniques de conduite d’émissions ou d’interviews ou encore les techniques d’écritures journalistes.  
 
Ouvert par le Gouverneur intérimaire de l’Equateur Jean-Claude Baendé en présence du Chef de Bureau de la MONUC, ce séminaire se veut une réponse aux nombreux dérapages constatés dans le paysage médiatique équatorien depuis le début de l’affaire dite «Makila», du nom du Gouverneur de province déchu ; lesquels dérapages ont permis de constater la pauvreté et le manque de professionnalisme des professionnels des medias.  
 
Jean-Claude Baendé ne pouvait alors que saluer cette « heureuse initiale de la MONUC qui vient à point nommé » ; car a ajouté le Gouverneur de province intérimaire, «ce séminaire est comme une clinique qui apporte une thérapie de choc à une presse agonisante», avant de regretter les insultes et injures qui ont élu domicile sur les antennes des medias locaux.  
 
Le Chef de Bureau de la MONUC/Equateur a de son coté, souligné le rôle essentiel que joue la presse dans le développement économique et social des nations. Guirane Ndiaye a par la suite stigmatisé ceux qui utilisent la presse à des fins inavouées, semant ainsi doute, confusion et division parmi la population.  
 
Rappelant les nombreux appuis de la MONUC au secteur de la presse au Congo et à l’Equateur en particulier, le Chef de Bureau de la MONUC a enfin formé le vœu de voir les journalistes mettre à profit cette formation pour non seulement améliorer la qualité de leurs productions journalistiques, en ne rendant compte que des faits, mais aussi pour une bonne couverture médiatique des prochaines élections municipales et locales.  
 
La MONUC, bien que mission de maintien de la paix, n'oublie pas pour autant le secteur des medias à l'Equateur; outre des séminaires de renforcement des capacités des journalistes, la Mission onusienne a aussi créé une Radio communautaire dans le Territoire de Djolu (plus de 1.200km de Mbandaka), secteur enclavé et qui était coupé du reste de la province.  
 
Une seconde Radio communautaire est actuellement en cours d'installation dans le Territoire de Yakoma dans le District du Nord-Ubangui (900km de Mbandaka), pour ne citer que ces quelques exemples. 
 
Monuc/L'expression 
 
 
Barthélemy BOTWALI LENGOMO victime de la Machination 
 
 
 
C’était prévisible, la nomination de son Excellence monsieur le ministre Barthélemy BOTWALI LENGOMO à la tête du Ministère des Affaires Sociales, Action Humanitaire et Solidarité Nationale devrait faire beaucoup de jaloux, au milieu de monde d’affaires politiques congolais, car la machination a pris d’autres tournures et formes que, les ingénieux petits malins ont du trouver des astuces pour frapper. 
Ce qui grave même les représentants du peuple commencent à s’adhérer massivement dans la logique du groupe des malins. 
Suite à la catastrophe naturelle qui vient de frapper la Ville de Mbandaka, le ministre Barthélemy BOTWALI LENGOMO avait sonné et toqué à la porte du gouvernement congolais pour venir en aide aux sinistres de l’Equateur. 
Le Gouvernement Congolais malgré les difficultés, la crise financière a débloqué une enveloppe en Franc Congolais, à plus de 300.000 dollars Américains. 
 
Sur place à Mbandaka le ministre Barthélemy BOTWALI LENGOMO avait remit en présence du ministre de l’intérieur et autres autorités de marque, 100.000 dollars et 9.000.000Franc Congolais aux militaires blessés argent en liquide pour l’aide directe. 
Il avait aussi amené 3000 sacs de ciment à Kinshasa pour Mbandaka, 2000 tôles, 15 m3 de bois pour charpente des toitures, 3 tonnes des produits pharmaceutiques, 1000 bâches pour couvertures des sinistres, 500 Kg de clous pour le bois, 300Kg de clous pour les tôles, pour ne citer que cela.  
 
 
 
C’est dans ce contexte qu’un vaste complot ourdi contre le ministre Barthélemy BOTWALI LENGOMO ministre des Affaires Sociales, Action Humanitaire et Solidarité Nationale. 
Les jaloux cherchent par tout le moyen de lui éclabousser même s’il a toujours démontré avec beaucoup d’effort et de loobing pour aider ce ministère qui a été mit à genou.  
Suite aux rumeurs du Président de la Commission PAJ de l’Assemblée Provinciale de l’Equateur, le 5 mars dernier les deux conseillers du ministère ont tenu une conférence de presse pour montrer les preuves et la vérité à la presse. C’est pourquoi notre cellule des enquêteurs et investigateurs a apprit et dénonce les habitudes malins et par fois parasites de certains proches collaborateurs du ministre qui entourent le ministre BOTSWALI. 
Parmi les complotes et accusations de ce groupe : < Nous ne voulons pas ici citer tous les mots qui se disent au couloir par cette équipe des irréprochables. 
 
 
 
L’EXPRESSION. 
 
 

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Modifié en dernier lieu le 1.10.2009